Handicap : Grenoble lance un grand chantier "d'accessibilité" au lieu de travail
La cité de l’Isère vient de signer avec l’Agefiph une convention qui devrait permettre de changer la vie quotidienne des personnes handicapées. Transports, commerces, entreprises, tout le monde est concerné.
Des bus aux bureaux, en passant par les passages piétons ou les bâtiments officiels… La convention INOVACCESS Grenoble 2013 que viennent de signer la ville et l’Agefiph (1), est destinée à changer la vie quotidienne des personnes handicapées et notamment de celles qui travaillent.
L'objectif du projet : "Offrir à toute personne, quel que soit son handicap ou sa déficience, une accessibilité totale et continue, de la cité à l'entreprise, sur un territoire à forte densité d'emploi". Vaste programme !
Un projet qui va être réalisé sur trois ans et qui intervient au moment où, depuis le 1er janvier, les les entreprises qui n’ont rien fait pour respecter la loi sur l’emploi des handicapés voient leurs pénalités multipliées par trois (les PME ayant un délai jusqu’au 1er juin).
A Grenoble, Jean-Marie Faure, le président de l’Agefiph et Michel Destot, le député-maire, ont vu grand. L’opération concerne trois quartiers où travaillent plus de 8 000 salariés dans 713 entreprises. Un champ d'expérimentation quasi idéal pour une ville qui se veut, selon son maire, "un laboratoire d’innovation sociale."
L'objectif du projet : "Offrir à toute personne, quel que soit son handicap ou sa déficience, une accessibilité totale et continue, de la cité à l'entreprise, sur un territoire à forte densité d'emploi". Vaste programme !
Un projet qui va être réalisé sur trois ans et qui intervient au moment où, depuis le 1er janvier, les les entreprises qui n’ont rien fait pour respecter la loi sur l’emploi des handicapés voient leurs pénalités multipliées par trois (les PME ayant un délai jusqu’au 1er juin).
A Grenoble, Jean-Marie Faure, le président de l’Agefiph et Michel Destot, le député-maire, ont vu grand. L’opération concerne trois quartiers où travaillent plus de 8 000 salariés dans 713 entreprises. Un champ d'expérimentation quasi idéal pour une ville qui se veut, selon son maire, "un laboratoire d’innovation sociale."
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